Jehan de Vézelay ou Jean de Jérusalem (1042-1119) serait, un Templier qui aurait participé à la libération de Jérusalem en 1099, conquise vingt ans plus tôt par les Turcs. C’est au cours de son séjour dans la Ville Sainte qu’il rédigea son recueil prophétique appelé «Protocole secret des prophéties».
D’après M. Galvieski, selon le manuscrit de Loubianka, Jean de Jérusalem serait l’enfant du monastère bénédictin de Vézelay, fils de Bourgogne, soldat du Christ en Terre sainte, et l’un de huit fondateurs de l’ordre du Temple. Il serait un proche d’Hugues de Payns, premier grand maître de l’ordre du Temple, et serait né en Bourgogne vers 1042 et mort à Jérusalem en 1119.
D’après une autre version, il aurait été plutôt croisé et bénédictin. On assure qu’après la Première Croisade il a découvert un grand secret sur le Mont du Temple à Jérusalem, ce qui a fait de lui un prophète.
Jean de Jérusalem aurait écrit sept manuscrits de prophéties, au contenu identique. Trois manuscrits auraient été confiés à Bernard de Clairvaux (saint Bernard) qui en donne un au monastère de Vézelay. Quatre autres exemplaires auraient été dispersés et eurent différents destinataires. Un manuscrit retrouvé dans les archives du KGB à la Loubianka en 1992, faisait, selon les services russes, partie d’un lot d’archives allemandes saisies à Berlin, ce qui expliquerait les différentes mentions en marge qui s’y trouvent, indiquant que ce manuscrit fut saisi dans une bibliothèque juive de Varsovie (Pologne). Ce manuscrit aurait été retrouvé et traduit par le professeur russe Galvieski (1917-1995) et publié d’abord en français en 1994, puis en allemand. Selon une autre version,ce manuscrit russe, aurait été trouvé dans les archives du monastère de la Trinité-Saint-Serge à Zagorsk près de Moscou (Russie) en 1992/1993. M. Galvieski assure que les textes peuvent être datés du XIVe siècle. Les deux textes sont aujourd’hui introuvables. Il y aurait un original qui était la propriété des Templiers, et qui serait gardée par le Vatican.
Dans un langage simple et clair, plus de neuf cent ans avant les actuels événements, Jean de Jérusalem a décrit l’essentiel de ce que nous vivons aujourd’hui, que ce soit les catastrophes en tous genres, les attentats terroristes, la montée de la violence et des intégrismes, les guerres, le relâchement des mœurs, les nouvelles maladies et les nouvelles découvertes scientifiques.
La précision de ces Prophéties, bien plus claires que celles de Nostradamus est surprenante.
La première partie de cette prophétie concerne des prédictions pour le début du 3ème millénaire «Lorsque commencera l’An Mille qui vient après L’An Mille». C’est une sombre prédiction pour la période de l’an 2000.
La seconde partie annonce une ère de confiance, de foi et d’espérance dans une période de temps plus tardive «Lorsque ce sera le plein de l’An Mille qui vient après l’An Mille».
L’ensemble du poème fait part des perversions et des errances auxquelles l’Homme doit succomber au 3ème millénaire. Il cite la décadence de l’union parentale, l’inceste, la pédophilie, le vol, la rançon, l’absence d’éducation, la vénalité, la régression à l’état animal, la putréfaction des vivants, la prolifération et les crimes meurtriers des infidèles, les pillages, les viols, la haine de soi, le règne secret d’un ordre noir, les déclarations de guerres et toutes sortes de dégradations et de conflits de la société et de l’être humain.
La seconde partie fait part de la sortie de cet état barbare qui voit l’unification de chacun en un même cœur, où chacun est une part infime du corps des humains qui s’unit en une seule langue. La terre sera ordonnée, le corps humain deviendra plus habile et il sera doué de télépathie, de capacités de lévitation et de capacités aquatiques. La Femme, garante de la douceur, imposera à l’homme ce qu’elle pensera. Il y est dit que chacun y sera « comme un pas réglé. On saura tout du monde et de son corps. On soignera la maladie avant qu’elle n’apparaisse ». Ainsi, « il aura fallu la poigne ferrée pour que s’ordonne le désordre et que l’homme retrouve le bon chemin ». Aux deux dernières strophes l’Homme découvre que «tous les vivants sont porteurs de lumière» et apprend que cette dernière ne s’éteindra pas.
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